Enquête Nationale

L’enquête bien être

Pourquoi ? Comment ?

 

Pourquoi cette enquête ? 

Les étudiant.e.s en santé, sont, eux aussi, touché.e.s par ces situations de mal-être. L’enquête menée par l’Association Nationale des Etudiants en Médecine de France (ANEMF) a dévoilé un taux de dépression chez les étudiants en médecine et chez les jeunes médecins de 23,7%. En février 2017, la Fédération Nationale des Etudiants en Soins Infirmiers (FNESI) a également publié son enquête bien-être, révélant qu’un.e étudiant.e en soins infirmiers sur deux déclare qu’il.elle a vu sa santé physique et psychologique se dégrader au cours de sa formation.

 

Les étudiants sages femmes ne font pas exception à la règle !

 

En effet, l’ANESF reçoit régulièrement des demandes d’aides de la part d’étudiant.e.s en difficulté, ainsi que des témoignages de souffrance en rapport avec les études. Afin d’avoir des chiffres objectifs et de cibler les principaux problèmes de mal-être étudiant, l’ANESF a lancé son enquête bien être en février 2018.

Comment on-été recueillies les données de l’enquête ?

Les données ont été recueillies entre le 13 mars et le 9 avril 2018  par un questionnaire Google FormⓇ diffusé via les réseaux sociaux et le réseau des administrateur.trice.s de l’ANESF. Il a également été envoyé à toutes les directrices des structures de formation de maïeutique pour maximiser sa diffusion.

 

Au total, 2428 étudiant.e.s sages-femmes se sont exprimé.e.s, ce qui fait un taux de participation de plus de la moitié des étudiant.e.s sages-femmes. Ces données ont été analysées par Joséphine MILOCHE, Vice-Présidente en charge des Questions Sociales de l’ANESF, avec l’aide du bureau national de l’ANESF et du Collège National des Sages-Femmes.

 

Mais qu’allons nous faire de ces chiffres ?

L’objectif de cette enquête est double : faire un état des lieux précis de l’état de santé des étudiant.e.s sages-femmes et cibler les principaux problèmes afin de formuler des propositions de solutions efficientes et pérennes pour les améliorer.

 

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